Cartomancie, médium, clairvoyance…je connais ces mots depuis toujours mais je n’en ai pas vraiment saisi le sens. Jusqu’au jour où j’ai personnellement expérimenté la consultation de voyance. Je vous invite à revenir sur cette expérience avec moi, pour mieux mesurer la puissance des arts divinatoires.
Depuis tout petit je veux être un docteur
Il y a beaucoup de professionnels de la santé dans ma famille : pédiatre, médecin généraliste, dentiste, chirurgien, et j’en passe. Ils ont l’habitude de nous parler de leur travail et cela m’a donné envie de marcher sur leurs traces. Je voulais aussi être une sorte de héros qui sauve des vies, je rêvais d’exercer un métier utile aux autres.
Plus le temps passait, plus mon ambition grandissait. Je bûchais particulièrement sur la biologie humaine et sans me vanter, j’obtenais toujours d’excellents résultats à mes examens. Dans ma tête, mon avenir était tout tracé : une brillante carrière de médecin me tendait les bras et je serais moi aussi en mesure de changer la vie des gens. Panser des blessures, guérir des maladies, c’était mon objectif ultime et j’allais me donner les moyens de l’atteindre.
J’ai réalisé des études très longues afin d’atteindre mon but
Après l’obtention de mon bac, j’ai naturellement choisi de poursuivre mes études en médecine. Je savais que le cursus serait long : entre 9 et 12 ans selon que j’allais opter pour une spécialisation ou exercer comme généraliste. Je n’avais pas encore décidé mais j’étais tout excité lorsque j’ai intégré la fac et surtout, j’étais hyper motivé.
Je vous avoue que le rythme était parfois infernal. Les heures de sommeil s’amenuisaient, les cours devenaient de plus en plus durs. Mais j’ai tenu bon. Je me suis donné à fond pour faire partie des plus performants de ma promotion.
Je ne me plaignais jamais car je ne voulais pas que l’un de mes proches suggère une reconversion. Mes efforts ont payé, j’ai obtenu mon diplôme et je suis devenu médecin. C’était l’accomplissement de mon rêve de toujours, j’ai atteint mon but.
J’ai fini par devenir docteur après de nombreux efforts déployés
J’étais médecin, enfin ! Le parcours s’est révélé long et compliqué mais je me suis accroché et voilà, j’étais devenu celui dont je rêvais depuis mon enfance. J’étais enfin en mesure d’établir des diagnostics, de rassurer des patients et leurs proches, d’apporter des solutions… J’étais en position de prendre des décisions qui ramèneraient des sourires sur les visages, de redonner espoir.
Mon idéal n’était pas seulement à portée de doigt, je le touchais. En plus d’exercer la carrière qui me fascine depuis toujours, je gagnais un salaire confortable. Que demander de plus ? Je baignais dans l’euphorie et bien entendu, j’étais la fierté de ma famille. On me félicitait pour mon brillant parcours, on sollicitait mon avis de médecin, on m’incluait dans les discussions techniques, que du bonheur !
Je me suis rendu compte après quelques mois que je n’étais pas à ma place
Malheureusement, j’ai vite déchanté. Pendant mon internat, j’étais entouré. Je pouvais compter sur d’autres médecins. Mais une fois mes études achevées, je suis devenu le médecin sur lequel les autres comptent. Je devais gérer mes patients et sincèrement, j’adorais le contact avec eux, la sensation de leur être utile, de pouvoir les réconforter.
Cependant, la vie de médecin n’est pas toujours comparable à celle du héros que j’imaginais. Dans certains cas, la médecine est impuissante et malgré toute notre volonté d’accomplir des miracles, ce n’est pas le cas.
On voit l’espoir mourir dans les regards quand on annonce à un patient qu’il n’existe aucun traitement à sa maladie. Je suis quelqu’un de naturellement empathique alors vous vous doutez bien que j’étais bouleversé à chaque fois. Il y a aussi le rythme fou, le stress constant. J’étais exténué.
J’ai fini par démissionner et j’ai quitté le monde de la médecine
Ma motivation s’est effritée et au début, je l’ai mis sur le compte de la fatigue. Être médecin, c’est occuper un poste à responsabilités multiples. On est constamment sur le pied de guerre et même si des horaires de travail sont établis, ils ne sont pas toujours respectés. Vous ne pouvez pas dire à des parents paniqués de revenir le lendemain quand ils vous amènent un enfant qui s’est foulé le poignet.
Vous ne dites pas à un patient qui a des difficultés respiratoires que vous êtes trop éreinté pour le prendre en charge. Un médecin fait tout son possible pour que ses patients aillent bien. On ne soigne pas seulement des maladies. On rassure, on conseille, on écoute…on fait preuve de compassion et de patience. Mais je n’en pouvais plus. J’ai essayé de tenir bon mais j’ai craqué. La médecine n’est finalement pas faite pour moi.
Je me suis retrouvé sans emploi, perdu, sans aucune piste professionnelle
Mes rêves se sont brisés. J’ai lamentablement échoué. Malgré toute ma bonne volonté, je ne pouvais pas rester médecin parce que ce n’était ni une passion ni une vocation. C’était simplement un métier qui me fascinait et je n’ai pas pleinement mesuré ce qu’il allait impliquer. Et je n’avais pas ce qu’il fallait pour être celui dont je rêvais.
Le souci c’est que je ne savais rien faire d’autre. Oui, j’ai pu mettre un peu d’argent de côté pendant le peu de temps où j’ai exercé. Mais ce n’était pas une fortune. Il me fallait rapidement trouver un emploi. Mais lequel ? J’ai consacré plus de 10 ans à la médecine et je n’ai jamais envisagé autre chose. Pas de plan B. Rien. J’ai commencé à déprimer parce qu’à mon sens, j’avais raté ma vie.
Un proche m’a conseillé de faire une consultation de voyance privée
J’ai la chance d’appartenir à une famille solidaire et d’être entouré par de vrais amis. Lorsque j’ai annoncé à mes proches que j’avais laissé tomber la médecine, personne ne m’a jugé, personne n’a fait de commentaire désobligeant. Mon meilleur ami a particulièrement été présent. Il voyait que j’allais mal.
Sans regretter ma décision, j’étais perdu parce que je ne savais pas ce que j’allais faire de mon avenir. J’avais surtout peur de me tromper une nouvelle fois en choisissant une voie de reconversion. Alors je restais au même point, sans évoluer.
Au détour d’une conversation, mon ami m’a parlé de voyance privée effectuée auprès du cabinet KLD Voyance. Je ne voyais pas trop le rapport avec ma situation mais il m’a expliqué que les prédictions d’un médium m’aideraient à trouver ma voie. Il a piqué ma curiosité.
Je me suis informé sur la voyance et j’ai compris que cela me serait utile
Avant de décider si oui ou non j’allais prendre rendez-vous pour une consultation de voyance, j’ai d’abord pris le temps de me renseigner sur les arts divinatoires. La voyance ou la divination est un moyen d’obtenir des réponses aux interrogations concernant votre avenir. La voyante peut se servir de ses dons pour réaliser des prédictions. Vous n’avez pas besoin de vous rendre au cabinet de voyance, tout se fait au téléphone.
Un support divinatoire peut être utilisé : en cartomancie, on utilise souvent le tarot, mais le tarot n’est pas l’unique jeu de carte existant. Mais je m’égare un peu. Pour en revenir à la divination, elle vous éclaire sur les sujets de votre choix. Dans mon cas, j’avais besoin de trouver ma voie professionnelle. Il me faudrait donc consulter un voyant pour qu’il m’oriente vers le chemin tracé pour moi. J’ai décidé de sauter le pas.
Durant la séance, la voyante a su répondre à tous mes doutes professionnels
La boule au ventre, j’ai appelé un cabinet de voyance qui garantit la totale discrétion des échanges. Mon interlocutrice m’a transmis des ondes positives qui m’ont aidé à me détendre. Je lui ai fait part des interrogations qui tournaient inlassablement dans ma tête. Sa clairvoyance lui a permis de cerner ma situation et d’avoir des détails qui me manquaient.
C’est cela la voyance sérieuse : avec ou sans outils divinatoires, le professionnel est en mesure de vous expliquer votre passé et votre présent pour vous aider à anticiper votre avenir. Tout au long de la séance, mon interlocutrice m’a aidé à comprendre ce qui se cachait dans mon moi profond. Elle m’a révélé mes atouts et a mis mes faiblesses en lumière. Elle a donc pu m’indiquer les domaines professionnels dans lesquels je pourrais m’épanouir.
Après cette expérience j’ai décidé de me reprendre en main et de m’activer
La voyance de qualité est une aide précieuse dans les moments de désarroi. Alors que j’étais bloqué par la peur et les incertitudes, consulter un voyant qui fait preuve de discrétion m’a remotivé. L’empathie fait partie de mes principales qualités. Effectivement, je suis fait pour aider les autres mais pas en tant que médecin.
Je tiens à préciser que les arts divinatoires ne font pas tout à votre place. Ils vous offrent des indications mais la décision finale vous revient. Dans mon cas, il était dit que je m’épanouirais dans un métier consistant à aider les autres.
J’ai donc décidé de suivre cette piste et de mener des recherches sérieuses sur toutes les professions envisageables et les parcours à suivre. Par acquis de conscience je me suis aussi renseigné sur les potentiels inconvénients des métiers en question.
Aujourd’hui, grâce à la voyance privée, je fais un métier qui m’épanouit
Depuis ma séance de voyance de qualité, je suis devenu auxiliaire de vie sociale. Je continue à aider des gens, à leur offrir ma compassion. Il y a des moments où j’utilise mes compétences médicales mais c’est surtout le rapport humain qui prime.
Mon métier actuel est très enrichissant. Je mène un rythme qui me laisse du temps pour m’amuser avec mes proches, m’occuper de mes animaux ou simplement pour me reposer. Oui, le monde divinatoire m’a aidé.
Mon expérience personnelle me permet d’affirmer que la voyance sérieuse est un excellent outil pour prendre sa vie en main. Les révélations vous aident à prendre des décisions éclairées et donc de préserver l’équilibre de votre vie. En ce qui me concerne, je n’hésiterai pas à réitérer l’expérience.